Je m’appelle Clémence et j’ai 43 ans, et je suis au chômage depuis 8 ans. Je suis mariée à Christian, un architecte de 53 ans. Ensemble nous avons 2 filles âgées respectivement de 22 et 20 ans. Les deux logent toutes dans les campus. Mais, ce que mon mari ignore est que j’ai un amant du nom de Damien. L’on s’est connu avec ce dernier à l’époque où l’on était encore au Lycée. Il fut mon petit ami pendant 3 ans. Mais, après l’on s’est séparé au moment d’entrer à l’Université. Lui, il est parti aux Etats-Unis, tandis que moi je suis restée en France.
Dès son retour en France, il a essayé de reprendre contact avec moi. Mais, malheureusement j’étais déjà mariée. Ceci étant, il n’avait pas d’autres choix que de fonder une famille aussi. Toutefois, nous avons gardé de très bonnes relations.
Damien est un homme d’affaires très prospère. Seulement, il a l’habitude de se plaindre comme quoi sa femme n’arrive pas à le satisfaire sexuellement. C’est cela qui explique pourquoi il a l’habitude de solliciter mes services sexuels. De mon côté, ça ne me gêne pas non plus dans la mesure où après chaque relation sexuelle, il me donne en peu d’argent qui m’aide à joindre les deux bouts du mois. Heureusement que mon mari n’est pas au courant de ma relation avec Damien.
Ce que mon amant aime le plus chez moi, c’est surtout la manière dont je lui fais la fellation. La dernière fois que j’ai sucé son bâton, il m’a donné 300 euros, car il estimait que c’était en peu spéciale. C’était un vendredi et mon mari était parti en suède pour un séminaire de 3 jours. Lorsque j’ai informé à Damien que mon mari était en mission, il m’a invité à le rejoindre dans son bureau, aux environs de 20 heures, vu que tous ses collègues seront déjà partis chez eux.
Aux environs de 19 heures, j’ai commencé à me faire belle. A 20 heures pire, j’étais déjà dans son bureau qui se trouve à peine, à 2 kilomètres de chez moi. Après m’avoir m’embrassé chaleureusement, il m’invita à m’assoir. On discuta pendant quelques minutes et après on passa aux choses sérieuses.
Ainsi, je l’invitai à se relever et il s’exécuta. Avant de mettre à poil, je le déshabillai d’abord. Comme il était déjà excité comme un taureau, je réalisai que ça ne valait pas la peine de passer par les préliminaires.
Plutôt, je m’agenouillai devant son bâton tendu de désir, avec un sourire. Ce que j’aime du sexe de mon amant est qu’il est gros et grand plus que celui de mon mari. A chaque fois qu’il me pénètre que ce soit dans le vagin ou dans l’anus, je sens vraiment la différence. Ce soir-là, je constatai que ses couilles étaient en peu pleines que d’habitude.
Je commençais par les tripoter pendant quelques minutes. Ensuite, je pris son sexe et commença à le masturber comme une pimbêche. Immédiatement Damien ferma ses yeux. J’eus comme l’impression qu’il prenait un fou plaisir de se faire branler par son ex-petite amie du lycée. La preuve en est qu’il ne tarda à chuchoter : « vas-y, vas-y clémence ! Ma femme ne sait pas du tout faire tout ça ! Je regrette que tu n’aies pas pu devenir mon épouse !
Cela m’encouragea à continuer ma masturbation. Après ce jeu de mains, je pris sa bite brulante et je la plongeai dans ma bouche. Puis, je l’insérai d’avantage dans ma gorge. Aussitôt, Damien rouvrit ses yeux pour apprécier ce spectacle gratuit et hors du commun. Sans tarder, j’entamai une divine fellation sur la bite de mon amant. Je le suçai avidement. Damien se mit à hurler de plaisir. Pendant ce temps, je continuai à caresser ses testicules et ses fesses.
A un moment donné, Damien se mit à éjaculer en désordre comme un porc. Je recueilli une partie de sa semence chaude dans ma bouche. Une autre partie de son nectar se déversa sur mon visage. Sous l’effet du plaisir, Damien se mit à me dire des mots salaces du genre « Ce n’est pas possible ! Ca faisait longtemps que je n’ai pas éprouvé un tel plaisir ! Merci Clémence pour ce moment unique ! »« Pas de quoi mon cher ! » Lui-dis-je.
Après cette partie de plaisir, l’on se rhabilla et Damien me raccompagna chez moi. En cours de route, il sortit 300 euros de son portefeuille et me les donna. Ce soir-là, j’étais à la fois surprise et heureuse car il avait l’habitude de me donner 100 ou 200 euros, tout au plus. Ensuite, il ajouta encore : « Clémence, une fois de plus, merci pour la soirée. Au plaisir de te retrouver pour les autres ébats sexuels. »