Je m’appelle Chantal et aujourd’hui je suis âgée de 48 ans. Ça fait 4 ans que j’ai divorcé avec Simon. Mais, s’il y a bel et bien une chose qui me manque le plus de mon ex-mari c’est sa bite. Je dois avouer que j’ai du mal à m’habituer à son absence. Pour combler cette lacune, j’ai dû me tourner vers mon jardinier ; Anselme. Maintenant, c’est lui qui a remplacé valablement mon mari. Le moins que je puisse dire est que je suis plutôt satisfaite. La plupart des fois, lorsque je fais l’amour avec Anselme, il me fait des pénétrations vaginales. Mais dernièrement, il m’a fait une sodomie que je ne suis pas prêt d’oublier.
C’était un week-end et je m’ennuyais seule dans ma chambre. Puis, j’ai allumé mon ordinateur portable. Après avoir jeté un coup d’œil sur les nouvelles de ma région, je me suis tourné vers des sites web pornographiques. C’est comme cela que j’ai vu une pratique sexuelle à laquelle je ne suis habituée ; la sodomie. Aussitôt, j’ai commencé à fantasmer sur la sodomie.
Sans tarder, j’ai allumé mon téléphone portable et envoyé un texto à Anselme pour lui demander s’il était en peu disponible. Deux minutes après, il me répondit qu’il s’ennuyait aussi et qu’il avait besoin de la compagnie. Aussitôt, je lui ai envoyé un autre sms pour lui dire de me joindre dans ma chambre. Il ne s’est fait pas prier. Une fois dans ma chambre, je lui ai montré une vidéo d’une femme qui se faisait sodomiser et je lui ai dit que c’est cela que je voulais pour la soirée. Soudain, il me répondit tout simplement que mes désirs étaient des ordres.
Du coup, il me déshabilla avant de se déshabiller aussi. Ensuite, il m’allongea sur mon lit. Puis, il m’offrit un cunnilingus magistral. Comme c’était la première fois que je bénéficiais d’un tel traitement, je me mis à crier de joie. Cela encouragea à Anselme à lécher encore mes parties génitales. Il me lécha tellement bien que je ne tardai pas à jouir.
Après ce cunnilingus exemplaire, Anselme m’invita à lui offrir aussi une fellation. Je ne me fis pas prier deux fois. Après avoir tripoté ses couilles, je pris sa bite et commença à le masser comme une sale pute. Juste après, je la plongeai dans ma bouche et entama des scissions. Comme à l’accoutumée, je la suçai a volonté, jusqu’à ce que Anselme verse son jus de couilles dans ma bouche st sur mon visage. J’en goûtai une petite quantité.
Aussitôt après, Anselme m’invita à me positionner en levrette afin qu’il puisse m’enculer comme une chienne en chaleur. Une fois en levrette, il en profita pour insérer lentement mais surement sa bite dans mon petit trou serré !
Comme je n’étais pas habitué aux pénétrations anales, j’eus quelques douleurs pendant au moins 3 minutes. Mais, comme j’étais psychologiquement préparé, cette douleur céda rapidement au bonheur.
Une fois le chibre d’Anselme correctement au fond de mes entrailles, il entama de lents mouvements de vas et viens. Puis, il me demanda s’il ne me faisait pas mal.
Je lui informai que la phase de douleur était terminée. Cela lui donna le feu vert d’entamer un mouvement de reins beaucoup plus rapide. Dix minutes après, il vida ses couilles dans mon intimité ! Quelle sensation ? C’était la première fois que je me faisais enculer. Mais, depuis ce jour, la sodomie fait partie de mes pratiques sexuelles préférées.
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