zoophilie

Jeudi 7 janvier 4 07 /01 /Jan 15:07

 

Je m’appelle Nadine et j’ai 32 ans. Bien que je sois originaire de la région parisienne, j’habite en ce moment à Montpelier. Il y a 5 ans, j’ai failli me marier avec Thierry. Puis subitement, notre projet de mariage a tourné au vinaigre. La raison principale qui a fait que notre projet de mariage capote est que j’ai surpris mon petit ami en pleins ébats sexuels avec une amie de la fac. Cela m’a énormément choquée et affectée. Après cette mésaventure avec Thierry, j’ai connu d’autres mésaventures avec d’autres hommes. À un moment donné, j’ai décidé d’ignorer totalement les hommes. Heureusement, mon chien a compris mon chagrin. Aujourd’hui, il a su combler mes pulsions sexuelles.


MES DÉBUTS AVEC LA ZOOPHILIE.


 C’était un soir, et je m’ennuyais seule à la maison. Comme il n’y avait aucun programme intéressant à la télé, je me suis dit qu’il ne serait peut-être pas mauvais de jeter un coup d’œil sur le net, pour voir s’il n’y aurait pas du neuf. Effectivement, après une demi-heure de recherches sur Google, je suis tombé sur un film de zoophilie très intéressant. Ce film zoophile mettait en valeur une vieille femme qui se fait lécher les parties génitales par son labrador. C’était la première fois que je voyais une scène de zoophilie.


Au départ, je fus choquée car je ne pouvais pas comprendre comment une femme aussi riche et respectable pouvait s’adonner à la bestialité. Mais, au bout de quelques minutes, je me rendis compte que c’était un fantasme comme tant d’autres. Sans m’en rendre compte, je commençai d’ailleurs à être excité comme une pimbêche. Puis, je commençai à me masturber et à mouiller, comme il n’est pas permis. Aussitôt, je constatai que mon chien était en train de me regarder avec un air bizarre. J’eus comme l’impression qu’il voulait me baiser. Comme j’étais très excitée, je l’appelai. Mon objectif était qu’il puisse me lécher comme la femme que je venais de voir sur le film de zoophilie sur Internet.


À voir la manière dont le chien s’amena, je compris immédiatement qu’il était aussi en maque de sexe. Pour lui faciliter la tâche, je me déshabillai totalement. Ensuite, je m’assis sur le sofa, les jambes légèrement écartées. Cela permit à mon chien de me lécher, à ne pas en finir.


Ainsi, il lécha mon vagin, mon clito ainsi que le sillon de mes fesses. Je dois avouer que c’était la première fois que je me faisais aussi bien lécher mes parties génitales. Un jour, mon petit ami avait essayé de m’offrir un cunnilingus, mais il avait échoué lamentablement. J’avais fini par lui demander d’arrêter ce cunnilingus pour éviter que ça ne puisse pas gâcher nos ébats sexuels.


Mais, avec le chien j’étais plutôt aux anges. Je n’arrêtais pas de mouiller et de hurler de plaisir. Ce soir-là, j’étais très contente d’avoir découvert qu’il y avait moyen d’avoir un plaisir sexuel, sans pour autant baiser avec un homme.  Après cette soirée, j’ai continué mes recherches sur la zoophilie. J’ai visionné plusieurs autres films qui montrent des femmes qui se font baiser ou enculer par des chiens ou des chevaux. J’ai également essayé de mettre en pratique ces pratiques zoophiles avec mon chien. Aujourd’hui, le moins que je puisse dire est que c’est tout simplement fabuleux et fantastique. 

Par eros24 - Publié dans : zoophilie
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Jeudi 7 janvier 4 07 /01 /Jan 14:53

ZOOPHILIE : UN PLAISIR SEXUEL JOUISSIF AVEC MON CHIEN.


Je m’appelle Annabelle et dans 3 mois j’aurais 31 ans. Je suis encore célibataire et je vis seule. L’histoire que je vais vous raconter est une histoire authentique qui s’est passée, il y a 4 ans. À l’époque, j’étais responsable du service marketing dans une entreprise de télécommunications. C’était vers la fin de l’année et j’avais deux semaines de congé. Ce samedi-là, je m’ennuyais seule à la maison. Pour m’occuper utilement, je me suis mis à regarder la télé. Mais, après une heure de zapping, je constatai qu’il n’y avait pas pratiquement aucun programme intéressant.


Soudain, je me rappelai qu’une collègue de travail m’avait prêté un film porno à regarder. Je le retirai de mon sac et le mis dans mon lecteur DVD. C’était un film qui mettait en scène une partouze entre 2 couples japonais. D’une manière générale ce film porno était très excitant, bien réalisé et surtout plein d’humour. La preuve en est que je ne tardai pas à me branler.


À un moment donné, je fus obligé de me déshabiller totalement pour mieux me procurer du plaisir. Pour cela, je plongeai ma main gauche dans mon minou. Ensuite, je me mis à le tripoter convenablement. Il mouilla comme il n’est pas permis. C’est lorsque je commençai à gémir comme une salope que je constatai que mon chien Milou avait son museau sur ma chatte. Sans nul doute qu’il était attirée par l’odeur de ma chatte bouillonnante.  


ZOOPHILIE : COMMENT JE ME SUIS FAIT LÉCHER LES PARTIES GÉNITALES PAR MON CHIEN.          

Surprise, je le laissai faire. Je dois avouer que c’était la première fois que je voyais un chien s’intéresser au vagin de sa maîtresse. Il est vrai que j’avais déjà entendu parler de bestialité, mais en aucun cas, je n’avais jamais pensé vivre personnellement une telle expérience un jour.


Plusieurs idées passèrent dans ma tête. Mais, finalement, je décidai d’offrir du plaisir à mon chien. Il s’approcha de ma fente. Ensuite, il sortit sa langue et commença à me lécher. Mais, ce qui me surprit le plus, c’est la manière dont il lécha mes parties génitales, plus que mon ex-petit ami.

 

En effet, Milou lécha mon clitoris comme aucun homme ne l’avait déjà fait dans ma vie. Pour lui permettre d’accéder facilement à ma chatte, j’écartai correctement mes grandes lèvres. Immédiatement, il se mit à lécher tout le jus qui sortait de mon intimité. À un moment donné, j’eus envie de m’évanouir de plaisir. Quel plaisir ?

En me voyant dans cet état d’excitation extrême, l’animal redoubla sa vigueur. Pendant ce temps, je me mis à gémir de plaisir.


ZOOPHILIE : JE NE SAVAIS PAS QU’UN CHIEN POUVAIT BAISER UNE FEMME MIEUX QU’UN HOMME. 

Lorsque j’essayai de jeter un coup d’œil sur sa bite rouge, je réalisai qu’il était déjà sorti de son fourreau. Cela me fit comprendre qu’il était aussi excité et prêt à me baiser.   

Ainsi, je me relevai de mon canapé et me positionnai en levrette. Pour me faire comprendre qu’il a compris ce que je voulais, le chien grimpa sur moi. Il essaya trois fois d’introduire son sexe rouge dans mon vagin, mais échoua.

 

Je fis donc obligé de l’aider à me pénétrer. Sa bite s’inséra dans mon minou, comme un couteau dans le beurre. Comme c’était la première fois que je recevais un si gros membre canin dans mon vagin, j’eus en peu de douleur. Heureusement, quelques minutes après, cette douleur céda la place au plaisir. 

 Du coup, mon chien se défoula sur ma chatte et me baisa comme une chienne en chaleur. Il me défonça sans arrêt. Mais, je fus particulièrement intéressé par sa vigueur et par sa force que je n’avais jamais remarquée chez mes autres baiseurs humains.


À un moment donné, Milou arrêta le rythme de sa cadence. Aussitôt, son nœud se mit à gonfler au fond de mon intimité. Je dois avouer que depuis que j’ai commencé les relations je n’avais jamais senti une telle sensation de bonheur.


Puis, sa bite se mit à se dégonfler. J’eus du mal à savoir ce qui se passait. Ce n’est que quand l’animal commença à vider ses couilles que je compris qu’il voulait se soulager.

 

Soudain, je me mis à crier de plaisir. Pendant  ce temps, le foutre du chien coula le long de mes cuisses. Depuis ce jour, j’ai juré qu’aucune bite humaine ne pourra plus entrer dans mon vagin. Seuls les animaux y ont désormais accès.       

Par eros24 - Publié dans : zoophilie
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