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Je m’appelle Arlène et j’ai 28 ans. Lorsque j’étais encore au Lycée, mes camarades de classe avaient l’habitude de me dire que je suis belle, gentille et surtout généreuse. L’histoire que je vais vous raconter s’est passée, il y a juste une semaine. J’ai terminé mes études universitaires, il y a 18 mois. Après deux mois de chômage et de galère, j’ai trouvé un emploi dans une agence de voyages et de tourisme.
J’y travaille en tant que secrétaire et en même temps, je suis chargée des relations publiques. Je m’entends très bien avec tout le personnel, mais particulièrement avec Guillaume, le patron. En effet, ce dernier est marié et père de 4 enfants. Mais, cela ne l’empêche pas parfois de me faire des clins d’œil ou bien de me donner des cadeaux.
Il y a un mois, il m’a donné 500 euros, en guise d’argent de poche ! Une autre fois, il m’a donné des fleurs. Le jour de Saint-Valentin, il m’a envoyé un SMS dans lequel il disait que j’avais un cul et des nichons appétissants. Il a également ajouté qu’il avait envie de me sauter, un jour. Tout cela m’a fait comprendre que le mec était intéressé par moi et qu’il était prêt à tout faire pour me baiser. Je dois avouer que moi aussi, je le trouve sympa et séduisant. C’est pour cela que je me suis dit que pourquoi pas ne pas lui donner la chance de gouter à mes délices génitaux.
Vendredi soir de la semaine passée, alors que nous restions à deux au bureau (aux environs de 19 heures), il m’a envoyé un message SMS où il disait qu’il voulait que l’on puisse rester ensemble pendant quelques heures encore. Comme je n’avais pas de programme particulier, je lui ai répondu que ses désirs étaient des ordres.
Lorsque je l’ai rejoint dans son bureau, j’ai constaté qu’il me regardait avec un air plutôt excité. Aussitôt, il m’a invité à fermer la porte à double clé.
C’est ainsi qu’il commença à me dire qu’il avait rêvé en train de me baiser, comme jamais. Je lui avouai que moi aussi j’avais envie de sentir sa bite dans ma chatte. Sans m’en rendre compte, je me mis à mouiller. C’est la raison pour laquelle je lui proposai de passer aux choses sérieuses.
SEXE ORAL : UNE FELLATION MAGISTRALE POUR MON PATRON.
Pour cela, je le déshabillai d’abord totalement, avant de me déshabiller aussi. Aussitôt après, je l’invitai à se mettre debout. Il s’exécuta immédiatement, comme un soldat. Quant à moi je m’agenouillai. Puis, je posai les lèvres de ma bouche sur son pénis tendu de désir. Je l’engloutis sérieusement avant d’entamer une fellation magique sur ce gland offert.
Je le suçai avec un grand appétit et au fur et à mesure que je fis des vas et viens sur cette bite en chaleur, Guillaume se mit à râler de plaisir en disant : « Oh, Arlène, s’il te plait, vas – y. vas-y, continues, continues. Ce n’est pas possible ! »
Cela me fit comprendre que le mec n’était pas loin de vider ses couilles. Mais, cela ne me déconcentra pas. Plutôt, je continuai ma pipe, tout en tripotant ses couilles. Soudain, il se mit à éjaculer en désordre pendant au moins 4 minutes.
PENETRATION ANALE : MON PATRON M’A OFFERT UNE SODOMIE EXEMPLAIRE.
Après cette fellation exemplaire, Guillaume m’informa qu’il voulait me rendre la monnaie. Pour cela, il me demanda, si je préférais une pénétration vaginale ou une sodomie. Je lui répondis que j’étais plutôt favorable à la pénétration anale, vu que c’est ce que mon petit ami a l’habitude de m’offrir souvent.
Ceci étant, il m’invita à me positionner à quatre pattes avant d’écarter mes jambes. Aussitôt, il introduisit son doigt dans mon cul. Puis, il ajouta un deuxième doigt. Pendant ce temps, je me mis à haleter comme une folle, surtout qu’il s’y prenait bien plus que mon petit ami.
Juste après cela, il prit une petite portion de la crème de vaseline dans son tiroir et la mit sur mon anus et sur le rayon de mes fesses. Il faisait tout cela pour que sa grosse pine puisse pénétrer mon fion, sans douleur.
Ainsi, après avoir écarté légèrement mes fesses, il inséra sa belle queue au fond de mon cul. Sans tarder, il entama un ramonage sur mesure. Ma rondelle enserra son gland convenablement et le gars me besogna comme une sale pute.
Quelques minutes après, le salopard se vida dans mon anus. Mon corps se mit à trembler de plaisir. Du coup, je me mis à jouir aussi et à gémir comme une cinglée. On resta dans cette position pendant au moins 5 minutes. Après, Guillaume retira sa belle bite de mon trou de balle. Puis, je l’embrassai et le remercia pour cet enculage, hors du commun. Il me remercia aussi pour la pipe.
Finalement, on se rhabilla et il m’accompagna jusqu'à chez moi. Depuis ce jour, je suis devenu presque sa maitresse. Il est rare que l’on puisse passer 2 semaines sans baiser, comme il n’est pas permis.