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Je m’appelle Sandrine et je suis âgée de 38 ans. Je suis marié à Christophe, PDG d’une banque qui s’occupe des financements agricoles. Au moins une fois par trimestre Christophe se rend en mission de travail. Si ce n’est pas aux États – Unis, c’est au Canada ou au Brésil. Et lorsqu’il voyage, c’est rare qu’il fasse moins de deux semaines. Mais, malgré que j’aie tout ce dont j’ai besoin à la maison, j’ai peur de lui dire que pendant ses déplacements je m’ennuie terriblement. L’histoire que je vais vous raconter s’est passée, il y a deux ans.

Ce jour-là, c’était un samedi. Comme je m’ennuyais seule à la maison, je fis la grâce matinée. Je me levai aux environs de midi. Je ne portais qu’une robe légère, mais sans sous-vêtement. Après, avoir pris mon petit déjeuner, je décidai d’aller rendre visite à mes amies, qui vivent à 50 km de chez nous. Mais, quelle-fut ma surprise de contacter que le pneu de notre voiture était crevée, ce jour-là. Immédiatement j’appelai notre mécanicien, Georges.  

Lorsque je lui téléphonai, il m’informa qu’il allait me rejoindre dans quinze minutes. Effectivement, quinze minutes après, j’entendis une sonnerie au portail. Je me précipitais d’aller lui ouvrir la porte. C’était aux environs de 13 heures et demie.

Mais, avant de lui montrer l’état de la voiture, je l’invitai d’abord à partager quelques boissons. Il ne se fit pas prier deux fois. Il m’informa d’ailleurs qu’il avait beaucoup soif. Ainsi, j’apportai deux bières que l’on partagea rapidement. J’apportai encore deux autres bières ainsi que quelques amuse-gueules.

 Pendant ce temps, Georges m’informa que sa femme l’avait quitté pour un autre homme et que cela lui avait totalement déstabilisé. Je lui consolai en lui disant que les histoires des couples étaient compliquées et qu’il n’était pas le seul à avoir des soucis. Je lui informai aussi que je n’étais pas aussi heureuse avec mon mari qui est constamment entre deux avions.

Apparemment, il sembla soulagé. Soudain, je constatai qu’il était de regarder entre mes jambes. Immédiatement, je compris qu’il était intéressé par moi. La bière commença à monter dans mon cerveau. Et curieusement, je devins aussi excitée. Je dois avouer que ça faisait plus de 3 mois que je n’ai pas fait l’amour avec Christophe. Ainsi, j’invitai Georges à s’approcher de moi. Il ne se fit pas prier deux fois.

Aussitôt, j’écartai mes cuisses et lui dévoila mon intimité. Apparemment le mec était aussi excité comme un taureau. Je remarquai son érection à travers son pantalon. Dès qu’il s’approcha de moi, il m’invita à lui offrir une fellation. Je ne me fis pas prier deux fois aussi, surtout que j’étais aussi très excitée. Pour commencer, je le déshabillai totalement.

Puis, comme une sale pute, je plongeai son pénis bien gonflé dans ma bouche. Ensuite, je le suçai comme une bonne crème glacée. Au fur et à mesure que je suçai cette verge, le mec sembla apprécier cette cure de fellation. La preuve en est qu’il n’arrêta pas de hurler de joie.

D’ailleurs, il me complimenta en disant que dans sa vie, il n’avait jamais vu une femme qui sait sucer la bite d’un homme comme moi. Je continuai ma pipe, jusqu'à ce que Georges éjacule dans ma bouche. Mais, je n’avalai pas ses spermes.   

Mais, ce qui me surprit le plus c’est que son bâton resta gonfle malgré cette éjaculation buccale.

C’est pourquoi je lui suppliai de me baiser comme une chienne. Ceci étant, il me déshabilla en une fraction de seconde. Il commença par me caresser et à lécher mes zones érogènes. Cela doubla mon excitation. Je ne tardai pas à mouiller comme une truie.

Puis, Georges me proposa de me positionner en levrette. Quelques minutes après, je sentis sa bite s’insérer dans mon anus. Comme mon mari a aussi l’habitude de m’enculer, je n’eus aucune douleur. Une fois sa bite au fond de mon fion, Georges entama un mouvement de vas et viens, bien rythmé.

Il m’encula comme jamais. Il continua la cadence jusqu'à ce qu’il vide ses couilles au fond de moi. Pendant, ce temps, je me mis à jouir aussi comme une cinglée.  Après cette partie de plaisir, nous nous rhabillâmes tous. Puis, Georges répara la crevaison. Ensuite, je le raccompagnai chez lui, avant de rejoindre mes copines. C’était déjà aux environs de 17 heures.

Depuis, ce jour, Georges est devenu mon amant discret. Chaque fois que mon mari est en voyage, je m’arrange pour retrouver le tantôt chez lui, tantôt chez moi. Et mon mari ne s’est jamais douté de quoi que ce soit. J’ose espérer que ce sera pareil pendant plusieurs années.                   

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